Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) est le parent pauvre dans le déploiement des armes à impulsion électrique (Taser), une réalité préoccupante pour le coroner Luc Malouin, chargé d’enquêter sur la mort d’Alain Magloire.
« Le problème de santé mentale va en grandissant. Il faut trouver une solution mitoyenne entre le laisser-aller et l’arme à feu, mais il ne faudrait pas que ça prenne 15 ans », a lancé mercredi le coroner Malouin, qui annonce de plus en plus la couleur de son rapport. « C’est bien beau de faire des recommandations, mais ça prend une volonté politique », a-t-il ajouté.
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