André Bérubé, qui désirait «paver la voie» à tous ceux qui se sont sentis bafoués dans leurs droits lors des manifestations du printemps érable en 2012, a eu gain de cause contre la Ville de Québec.
Lien merdia:
http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2014/09/20140917-134604.html