
Une joggeuse qui aurait vu un homme «étrange» le soir du meurtre de Jenique Dalcourt sur la piste cyclable où elle a été tuée remet en doute le travail de la police de Longueuil qui aurait attendu un mois avant de prendre au sérieux son signalement.
Une joggeuse qui aurait vu un homme «étrange» le soir du meurtre de Jenique Dalcourt sur la piste cyclable où elle a été tuée remet en doute le travail de la police de Longueuil qui aurait attendu un mois avant de prendre au sérieux son signalement.