La protectrice du citoyen, Raymonde Saint-Germain, s’inquiète du fait qu’un policier témoin d’une bavure policière grave puisse communiquer avec les policiers impliqués alors que le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) est saisi de l’affaire. Une telle communication pourrait vicier son témoignage ainsi que l’enquête, prévient-elle.